- étoilement
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• 1845 « fêlure »; estellement « les étoiles » XIIe; de étoiler♦ Littér.1 ♦ Action d'étoiler, de s'étoiler. « L'étoilement du ciel se faisait peu à peu, étoile par étoile » (Bosco).2 ♦ Disposition rayonnante, en étoile. Un étoilement de rues.étoilementn. m.d1./d Action d'étoiler, de s'étoiler.d2./d état de ce qui rayonne en étoile.étoilement [etwalmɑ̃] n. m.ÉTYM. 1845, « fêlure »; estellement « les étoiles », v. 1180; de étoiler.❖1 Action d'étoiler, de s'étoiler.1 L'étoilement du ciel se faisait peu à peu, étoile par étoile, et leurs feux, lointains, semblaient calmes.H. Bosco, Un rameau de la nuit, p. 149.2 (1870). Disposition rayonnante, en étoile. || Un étoilement de rues.♦ Par métaphore :2 Si je pouvais te faire sentir ce souvenir-là, avec ce qui l'entoure, l'auréole, le prolonge dans diverses directions, avec son « étoilement » tu aurais la clef de la musique un peu spéciale tout de même que le passé nous fait.J. Romains, les Hommes de bonne volonté, t. III, IV, p. 58.
Encyclopédie Universelle. 2012.